« Humains des métropoles, la fringale de terres doit s’emparer de vous. » Gustav Landauer
Initiée dans les années 1970 par les habitants de Notre-dame-des-Landes et de ses environs, renforcée dès 2012 par le mouvement d’occupation qui avait décidé d’habiter la Zad aux côtés des agriculteurs historiques ayant refusé de vendre leurs terres à Vinci, la lutte contre la destruction du bocage et la construction d’un nouvel aéroport en périphérie de Nantes, fruit d’une composition politique large, fut finalement victorieuse. Il n’y aura pas d’aéroport à Notre-dame-des-landes, 1200 hectares de terre agricoles sont sauvées du bétonnage, et c’est maintenant la question de leur usage par le mouvement qui se pose.